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| Dim 3 Jan - 2:20 | | Nouvelles création pour les amoureux de la CB! - Spoiler:
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| | | | Dim 3 Jan - 2:53 | | Un autre pour la route - Spoiler:
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| | | The Beautiful and The Beast Avatar : Ryan Guzman Gouttes de sang : 919 Date d'inscription : 18/05/2015 Age : 39 Localisation : Mystic Falls, Virginie | Dim 3 Jan - 10:31 | | Ahahahahahah pauvre Sarah |
| | | Torture is My Passion, Love Avatar : Joseph Morgan Gouttes de sang : 914 Date d'inscription : 24/10/2014 Age : 1055 Localisation : Devant un cadavre avec l'air satisfait - Manoir Mikaelson - Atelier | Dim 3 Jan - 12:41 | | Hello , Merci pour ces beaux gifs |
| | | | Dim 3 Jan - 13:45 | | Ces gifs OMG ! J'adore tes créations vraiment ! Et le dernier gif xDD Je veux en voir d'autres |
| | | Sweetness Unsafe Avatar : Barbara Palvin Gouttes de sang : 732 Date d'inscription : 17/10/2015 Age : 27 Localisation : Mystic Falls | Mer 6 Jan - 16:21 | | Haaaan les gifs de Kate/Illiana et Klaus/Illiana ils sont juste magnifiques, merci Kate ! Ahahaha pauvre Sarah ! J'avais bien ris que je l'avais vu la dernière fois ton gif avec Sarah ! xDD |
| | | | Ven 8 Jan - 0:10 | | Awwwww!!! Merci vous êtes chou!!! Voici la fiche d'un autre personnage que je n'ai jamais eu la chance de vraiment jouer et que j'avais créer sur un forum que je m'étais inscrit juste avant de venir ici. - Alanore Lancaster:
Ses mémoires Il est facile de se tenir avec la foule. Il faut du courage pour rester seul!
Assise sur le rebord de la fenêtre de la chambre que j’avais louée à l’Appolonide, mes yeux sont fixés sur le journal intime que je tiens dans mes mains. J’ai toujours aimé écrire. Voir l’encre noire de ma plume couler sur le papier jauni des différentes pages m’a toujours charmé. Je lisais les noms qui étaient écrits sur la feuille aux rebords légèrement déchirés…
Ewa Mielzynski Émy McCormick Mathilde Ebony Filipa Losh Nicole Cetner Gracja Bninski Alanore Lancaster
Je poussais un soupir entendu. J’avais changé de nom tellement de fois afin de ne pas être retrouvé que j’en étais fatigué. Si seulement cette fois pouvait être la bonne ! Je tournais le regard pour admirer la pluie qui tombait en cascade dans les rues de Londres. Il pleuvait tellement à l’extérieur que j’avais de la difficulté à voir de la bâtisse de l’autre côté du chemin. Cette pluie intense me rappelait d’ailleurs ma première vie, alors que j’étais encore innocente. Mon père n’a jamais accepté ma « trahison » qui n’en était pas une selon moi ! Et dire qu’il m’avait condamné à mort pour avoir été amoureuse…
« Été 1815
- EWA MIELZYNSKY !!!!!!!!!!!!!! Hurla Henryk Mielzynsky, le chef de meute d’une magnifique ville appelée Wroclaw.
Je levais la tête et le stress m’envahit en entendant le rugissement de mon père. « Oh oh… » me dis-je intérieurement en priant de toute mes forces qu’il ne venait pas me voir pour les raisons que je craignais. Je ne faisais pas souvent de bêtise et j’étais la fierté de mon père. Il n’avait donc pas de raison de m’en vouloir… Non? … Oui? Je retins mon souffle en le voyant arriver à toute vitesse. Même si j’avais voulu l’éviter, c’était sans espoir ! Il me saisit par le bras et me traina jusqu’au centre du Lunapar. C’était ainsi que l’on appelait notre lieu de résidence de la meute. Personne n’avait le droit d’y pénétrer s’il ne faisait pas partie des nôtres. Tous les miens étaient réunis en cercle et mon père me jeta au milieu. Je roulais dans le sable me couvrant de poussière. Je toussais en m’essuyant le visage. Je posais alors je regard sur mon père, ses yeux devenus jaunes brillaient d’un éclair dangereux et s’il avait été possible de tuer d’un seul regard, c’est certain que je serais morte plusieurs fois de suite. Le cœur d’Henryk battait la chamade, je pouvais l’entendre telle une abeille qui bourdonne à mes oreilles. Je vis néanmoins une larme perlée sur le coin de son œil, cela n’annonçait rien qui vaille. L’angoisse me submergea alors. Il était clair qu’il était au courant… Mon pire cauchemar venait d’arriver !
- Tu as trahi ta famille et ta meute EWA ! commença Henryk avec une voix venu tout droit d’outre-tombe. Je t’avais ordonné de cesser de fréquenter cet humain et pourtant tu m’as désobéi…
Telle une lionne prise au piège, je sautais sur mes pieds et me retournais vers Jakub. Il était le seul au courant de ce que j’avais fait. À mon grand damne, il m’avait surpris en plein ébat. Oh, il m’avait bien fait chanter quelque temps de tout dévoiler à mon père. Il voulait que je devienne sienne… Mais il m’était tout bonnement impossible de courber l’échine devant lui et le laisser me posséder. Je lui avais donc tenu tête et cela avait bien causé ma perte…
- JAKUB !!!! M’écriais-je alors que mes yeux se mettaient eux aussi à briller. TU VAS ME LE PAYER !!!
Je sentais l’adrénaline couler dans mes veines. Je ne me contrôlais plus. Ou plutôt, je laissais ma bête s’exprimer à travers mon corps humain. Je mourrais d’envie de me transformer et je savais qu’il fallait de peu pour que cela se produise. Un grognement sourd retentit de ma gorge provenant du plus profond de moi. Je sentais ma peau vibrer, tout autour de moi était devenu noir et la seule chose que j’apercevais encore c’était Jakub. Il était venu ma cible, l’homme à abattre ! À la grande surprise de tout le monde, je partais à courir en direction du loup qui m’avait dénoncé. Je n’avais qu’un seul désir : le tuer ! Mais avant que j’arrive à lui, je reçus un coup de poing sur une tempe et je m’écroulais au sol. La tête me tournait et un haut-le-cœur menaçait de faire remonter mon souper. Je secouais la tête et la relevait pour voir que mon père sur surplombait. Il n’y avait plus aucune trace d’émotion dans son regard. Toute trace d’humanité l’avait quitté. Ses poings étaient serrés tellement fort que le sang avait quitté ses jointures. Je pouvais bien avoir un mal de crâne intense… Je me redressais de peine et de misère lorsqu’il m’asséna un violent coup de pied aux côtes. Cela me fit un mal de chien et lorsque son pied rencontra mon corps, j’entendis un énorme « crac ! » m’indiquant que j’avais une côte de fracturée. Il me saisit par le collet de ma robe et me leva dans les airs. Je sentais l’air qui quittait mes poumons sans avoir la possibilité d’entrer, j’étais en train d’étouffer !
-Tu nous as tous trahis ! Malgré l’ordre clair que je t’avais donné, tu m’as désobéi. Et ce n’est pas la première fois. Ewa Mielzinski, je te condamne à mort!
Mes yeux s’agrandir de peur. J’allais tout perdre, dont la vie ! Je ne pourrais jamais revoir mon amour… Tout ça parce que j’avais aimé. J’ouvrais la bouche de protestation, mais c’était trop tard. Les mots refusèrent de sortir alors qu’il approchait son autre main de mon cou afin de le rompre. Tout se passa alors au ralenti. Je mordis la main de l’homme qui avait été jadis mon père à lui arracher un doigt. Alors que le sang coulait dans ma bouche, ce dernier ma lâcha et je tombais par terre. Le fluide vital rouge éclaboussa sur la robe lavande et blanche alors que mon père beuglait à la meute de m’assassiner. Mais je n’étais pas prête à mourir ! Je voulais vivre ! Je me transformais donc en louve, épousant ma bête de plein gré et me changeait le plus rapidement de toute ma vie. L’instinct de survie prit alors le dessus et je parvins à m’échapper d’une meute entière qui désirait me voir morte… Une pluie battante et froide se mit alors à tomber sur moi dès lors que je franchissais les limites du Lunapar de la meute, comme si les Dieux aussi me punissaient de ma supposée trahison. À moins que ces derniers ne pleurent le sort, qui s’acharnait sur moi…
* ***
Hiver 1810
La pleine lune brillait haut dans le ciel de la Pologne. Je me m’étais toujours pas résigné à quitter mon pays natal tant je l’aimais. Tout était beau ici, mais tellement dangereux pour moi. Assise sur le bord d’une rivière j’admirais le ciel étoilé pensivement. Si seulement je pouvais être libre… Une brise froide faisait virevolter mes cheveux blonds dans les airs. Mais je n’avais pas froid. À côté de mon gisait le cadavre d’un cerf éventré. La pleine lune m’avait donné des envies folles de chasse et je n’avais pas pu résister à l’appel de la nature. Sous ma forme animale, j’avais alors chassé cette bête qui était devenue ma proie. Sa mort avait été rapide, je ne l’avais pas fait souffrir, lui rompant le cou de mes crocs acérés. Je m’étais nourri de sa viande encore chaude remplie de protéines. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas mangé un repas consistant. Parfois je me demandais même pourquoi je ne restais pas sous ma forme de loup en permanence… ce serait tellement plus simple ! Mon cœur battait encore la chamade de ma course folle, et ce même si j’avais repris mon apparence humaine depuis quelques longues minutes déjà. Je pris un peu de neige pour laver mon visage ensanglanté, lorsque le craquement d’une branche attira mon attention. Je me figeais littéralement, tous mes sens aux aguets. Il était plutôt risqué pour moi de rester en forêt un soir de pleine lune, ou je pouvais à tout moment rencontrer un autre loup-garou. Mais j’avais besoin de me ressourcer, de rester dans la nature qui me faisait un bienfait immense. Je prêtais l’oreille afin de découvrir la source du bruit. Je retroussais alors les narines découvrant avec stupeur l’odeur d’un vampire. Ou plutôt de plusieurs vampires !
Je me redressais d’un bond lorsqu’ils sortirent de l’ombre des arbres. Juste à voir leur regard, il était plus qu’évident qu’ils ne me voulaient rien de bon. Sans demander mon reste, je sautais dans les profondeurs de la rivière, sentait le froid glacé de l’eau à ce moment de l’année mordre ma peau jusqu’aux entrailles. J’étais frigorifié, mais je forçais mon corps à réagir et à m’écouter. Je nageais jusqu’à l’autre rive où je pus m’extirper de l’eau en grelotant. Seule ma résistance surnaturelle me permit de me remettre sur mes jambes. J’avais l’impression que ma peau menaçait de se déchirer à tout moment alors que je sentais la douleur s’insinuer dans le plus profond de mon âme. Je tournais la tête vers mes opposants pour me rendre compte avec horreur qu’ils me suivaient toujours ! J’épousais alors ma forme de loup afin de me mettre à courir plus rapidement. Le crissement de la neige sous mes pattes m’aidait à me concentrer. Je ne devais pas penser à ceux qui me suivaient, mais à l’endroit où je voulais me rendre. Je devais trouver une cachette… ou survivre jusqu’au lever du soleil !
Le plus vite des vampires réussit à me rejoindre et m’attrapa aussitôt par la queue pour m’envoyer valser contre un arbre. Le choc de mes os fracassant le tronc me fit pousser un gémissement de douleur. Étendu dans la neige, j’avais cessé de bouger. Je sentais mon sang chaud couler sur le coin de ma bouche pour aller imbiber la neige étincelante. Les yeux fermés, je laissais mon ouï m’indiquer où se trouvait le vampire. Mon but : faire semblant que j’avais perdu connaissance. Alors que le vampire allait m’attraper par la gorge, je rouvris les yeux et plantais mes crocs dans son poignet lui brisant un os au passage. Il hurla de douleur en me lâchant prestement. Je saisis l’occasion et m’enfuyais le plus rapidement possible dans les bois, laissant des traces ensanglantées sur mon passage. J’entendis des cris de fureur derrière moi et je devinais que les copains vampires de mon blessé avaient dû s’apercevoir que j’avais réussi à le mordre. J’allais probablement être tiré d’affaire, car ils devraient s’occuper de leur blessé s’ils ne voulaient pas qu’il meure empoisonné. Mais ne désirant prendre aucun risque, je courais dans la forêt jusqu’au lever du soleil où je m’écroulais au sol de fatigue.
Je n’appris que beaucoup plus tard le nom du groupe de mes poursuivants : Les Sentinelles de l’ombre…
* ***
Hiver 1812
Cela faisait déjà deux ans que j’étais poursuivi par les Sentinelles de l’Ombre et pour la première fois, j’étais persuadé d’avoir réussi à les semer. Avec les loups de mon ancienne meute et les vampires qui sont contre moi, je me sens bien seul dans ma pauvre misère. Je commence sérieusement à me dire que la meilleure solution serait de quitter ma tendre Pologne. Mes yeux verront me pose de sérieux problème ici. Je suis trop facilement reconnaissable avec un œil doré et l’autre violet en permanence. Disons simplement que ce n’est pas la meilleure solution pour m’aider à me cacher et m’enfuir, cela me rend tellement reconnaissable…
C’est en ruminant de sombres pensées, que je décide enfin de cogner à la porte d’une ferme qui m’est inconnue afin de proposer mon aide. Étant à l’écart de la ville, c’est l’endroit rêver pour moi de peut-être réussir à me faire disparaitre sans pour autant quitter mon pays adoré. Si le propriétaire accepte, je pourrais l’aider dans la récolte en échange d’un toit sur ma tête et d’un ou deux repas pas jour. Avec ma condition de loup-garou, je peux beaucoup plus aider que ma frêle silhouette laisse à croire. Je pourrais même faire l’entretien ménager ! Et m’occuper des bambins s’il y en a. Oh oui, je suis prête à tout afin d’enfin réussir à me poser.
Après avoir cogné quelques coups, une femme splendide vient m’ouvrir la porte. Son visage doux et ses longs cheveux blond platine me mettent tout de suite en confiance. Elle semble si aimable. De plus, elle tient un petit garçon dans ses bras, mignon à croquer ! Dans le bon sens du terme bien entendu ! Après lui avoir expliqué ce que je recherchais, elle me fait entrer avec plaisir dans sa charmante demeure. Imaginez l’horreur que j’ai ressentie lorsque j’ai vu l’homme de la maison arriver et que son odeur m’a tout de suite alarmée : un loup ! Je figeais en le regardant, appréhendant sa réaction… Ce fut tout le contraire de ce que j’avais imaginé. Il m’accepta parmi les siens à la condition, comme je l’avais proposé, que je m’acharne à la tâche. Le fait qu’il sache que j’étais un loup-garou également à même probablement aidé à le faire accepter, car il savait ce que j’étais capable de faire.
Lorsque le printemps apparut sous nos yeux, laissant la neige disparaitre en petit cours d’eau parcourant la propriété, je fus la première à sortir dehors afin de préparer les champs pour la semence annuelle. L’air frais et pur du printemps me faisait toujours un bien immense et j’étais plus que ravi de me retrouver un grand air. Enfin je me sentais heureuse et à ma place. Mes yeux verront ne semblaient aucunement déranger la famille qui me considérait presque comme l’une des leurs.
Mais comme la chance ne peut pas continuer indéfiniment, c’est à la fin du printemps que le drame survint. La pleine lune brillait haut dans le ciel et j’étais parti chasser avec Féodor sous notre forme animale. Me retrouver à courir à travers les arbres en compagnie d’un autre loup avait réussi à réanimer mes instincts de meute. Je le suivais, ralentissant ma vitesse à la sienne. J’étais beaucoup plus rapide que lui, mais je n’avais pas envie de le semer. Non, pas cette fois. Je voulais profiter de l’instant présent. Sentir les feuilles frôler mon pelage et me chatouiller par le fait même. L’odeur de musc de loup et d’herbe mouillée de la nature qui se réveille animait mes instincts de prédateur. Ensemble, nous tuions un cerf que nous avions mangé à pleine dent. Un seul regard entre nous avait suffi à établir notre plan d’attaque qui avait fonctionné à merveille. La chair fraiche et encore chaude avait toujours été mon plat favori…
Quelques heures plus tard, je décidais de rentrer à la maison alors que Féodor, ne pouvant pas contrôler son loup aussi bien que moi, restait dans les bois. Je désirais me reposer convenablement avant les labeurs du lendemain. Arrivez près devant la porte de la maison, je repris ma forme humaine. C’est alors qu’une odeur pestilentielle de vampire me vint aux narines. Je figeais, sentant un frisson d’horreur me parcourir l’échine et faire dresser le poil sur mon dos. Mes yeux étincelèrent d’un jaune sauvage alors que tous mes sens étaient en alerte. Mon cœur s’accéléra alors que j’appliquais mon ouï pour entendre ce qui se passait à l’intérieur. Mes yeux étaient fixés sur la porte entre ouverte lorsque j’entendis des gémissements. Telle une lionne voulant protéger ses petits, j’entrais tout fracas dans la maison. Je courais jusqu’à la cuisine où la scène d’horreur se déroulait sous mes yeux. Helena était maintenu contre la table de la cuisine alors qu’une marre de sang lui entourait le visage. Un vampire que je reconnus la tenait par la gorge. Elle gémissait et semblait s’être résignée à ne plus se débattre alors que des larmes coulaient sur ses joues. Ses yeux fixaient le vide comme si l’esprit d’Helena n’était plus là. Un autre suceur de sang tenait le petit corps inerte de l’enfant dans ses bras. Une colère noire m’envahit alors. Un grognement sourd monta dans ma gorge, provenant tout droit du plus profond de mes entrailles. Tous tournèrent la tête vers moi alors que j’entrais dans la bagarre !
Je fus malheureusement vite mise KO vu le surnombre de mes assaillants. Mais je me battis bec et ongles distribuant morsures et blessures mortelles à profusion. Je fus emportée hors de la demeure, laissant derrière nous un massacre pur et simple. Les larmes coulaient sur mes joues, créant des rigoles au rivage ensanglanté sur mon visage boursoufflé alors que mon corps inerte refusait de bouger…
Ce n’est qu’un an de torture plus tard que je parvins enfin à m’enfuir…
* ***
Automne 1880
Je suis tanné de me sentir sans cesse suivi. J’ai décidé de changer une nouvelle fois de nom pour cette fois adopter celui d’Alanore Lancaster. J’espère que ce prénom m’apportera chance et que je pourrais enfin vivre tranquillement. C’est avec l’optique de fuir mes assaillants et d’oublier mon passé que je me réfugiais dans la grande ville de Londres, en Angleterre.
J’y ai fait de très belles rencontres donc Isobel Crawley, une jeune sorcière que je considère comme ma sœur. Cela faisait déjà de très longues années que j’étais seule, fuyant systématiquement les autres loups. J’avais oublié depuis fort longtemps de faire partie d’une meute. Cela fait trop souffrir de perdre une personne qui est aussi proche de soi. Isobel est la seule depuis les soixante-huit dernières années qui y sont parvenues à entrer dans mon intimité. Je l’aime comme ma sœur. Je ne sais pas pourquoi, mais dès que j’ai posé mes yeux sur son visage doux et sa longue chevelure platine, je savais que je pouvais avoir confiance en elle. Elle me rappelle quelque chose de familier qui m’a tout de suite rassuré. Elle est vite devenue ma sœur, ma meilleure amie et ma confidente. Mais surtout, la personne que je désire protéger plus que tout au monde.
* ***
Été 1887
L’Allemagne est vraiment différente de ce que j’avais imaginé. Beaucoup plus hospitalière et accueillante que l’on m’avait décrites. Pourquoi je mettais les pieds dans ce pays éloigné de Londres ? Une rumeur était parvenue à mes oreilles disant qu’un certain ophtalmologiste allemand appelé Adolph Eugène Fick avait inventé des «verres de contact». Aux premiers abords, cette invention ne m’avait rien dit de très intéressant. Mais lorsque je compris à quoi cela servait, un enthousiasme fou parcourut mon corps entier. Ses petits objets de couleurs servaient à mettre dans les yeux afin de corriger la vue ou bien à des fins cosmétiques afin de changer la couleur de ses yeux. Imaginez donc l’idée de génie qui m’était venue à l’esprit en apprenant que des objets pouvant faire disparaitre mon anomalie oculaire existaient réellement ! Ce n’est qu’après quelques mois de recherche que je finis par trouver leur inventeur. Je dépensais alors toutes mes économies afin de me procurer ce bien si précieux. Je les pris de couleur bleue, afin d’attirer le moins l’attention possible. C’est avec un nouveau regard sur la vie que je retournais voir ma copine Isobel afin de lui montrer ma trouvaille ! C’est le cœur enfin léger que je pouvais réellement entreprendre ma nouvelle vie…
Par la même occasion, un autre avatar parce que j'étais inspiré!!! |
| | | | Dim 10 Jan - 6:01 | | Après avoir fait le présent, voici maintenant le passé! |
| | | Sweetness Unsafe Avatar : Barbara Palvin Gouttes de sang : 732 Date d'inscription : 17/10/2015 Age : 27 Localisation : Mystic Falls | Dim 10 Jan - 12:53 | | Troooop chou ! |
| | | The Beautiful and The Beast Avatar : Ryan Guzman Gouttes de sang : 919 Date d'inscription : 18/05/2015 Age : 39 Localisation : Mystic Falls, Virginie | Dim 10 Jan - 12:57 | | Espèce de copiteuse. |
| | | | Dim 10 Jan - 16:29 | | Non pas copieuse, c'est toi qui m'a INSPIRÉ hier soir!! |
| | | | Mar 19 Jan - 10:25 | | Ces gifs mon Dieu, j'en suis dingue *-* GJ miss |
| | | | Mar 19 Jan - 13:56 | | Rohhh!! Merci du compliment!! Je t'en ferais un, un de ses jours!!! |
| | | | Ven 22 Jan - 3:38 | | Voici un nouveau Gif que j'ai eu envie de faire. Pour ceux qui connaissent pas mon histoire, Kate et Balou se sont rencontrer à l'hôpital après qu'elle eu un accident de voiture. |
| | | | Ven 22 Jan - 7:49 | | Le regard de Barreth à la fin :3 C'est leur rencontre que tu as voulu montrer ? |
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