Le Salon

Le Salon est une longue pièce très sombre. Elle est garnie de plusieurs fenêtres, mais chacune sont barricadées grossièrement par des planches, ou recouvertes par de lourds rideaux poussiéreux de velours. Le papier peint qui recouvre partiellement les murs est rouge. Il est arraché à de nombreux endroits et laisse apparaître un mur en bois à l’aspect pourri. Chose étrange, de longues traces de griffes parcourent un mur entier. L’animal doit être énorme, car les griffes sont plus imposantes que celles d’un ours. Un message inscrit à la craie blanche donne des frissons : « Adieu. »

Les murs encore intacts possèdent des rangées de peintures et de vieilles photos. Mais les personnes représentés sont peu engageantes… La peinture d’une femme aux yeux rouges semble fixer les visiteurs du salon et son air affamé ne présage rien de bon. Celui d’un vieil homme ressemble étrangement à un crane, tellement sa peau ridée est plaquée à ses os et son air grimaçant donne envie de se détourner. Une autre peinture représente une sorcière sur le bûcher. Sa bouche est tordue en un rire grimaçant et ses yeux sont aussi noires que la nuit. Les photos ne sont guère mieux. L’une est tout simplement la décapitation d’une personne, juste avant l’instant fatidique. Le bourreau a déjà levé sa hanche, les muscles tendus. Les autres sont des paysages de cimetières, ou une famille dont la date du décès est inscrite en bas à gauche.

Un piano occupe beaucoup d’espace. Les sons qu’il émet désormais ne sont plus que de vagues souvenirs de sa grandeur passée. Un tapis énorme recouvre presque l’entièreté du parquet. Quelques taches de sang ont imbibé le tissu, çà et là. Enfin, un canapé fait face à une cheminée éteinte et couverte de poussière. Le canapé est usé, tâché, déchiré.
Ce lieu semblait être un joli coin pour la famille qui s’y réunissait, comme le témoigne un petit jouet de bois. Mais un ancien fusil déchargé, jeté dans un coin de la pièce prouve le contraire.

Peut-être que cette jolie famille est, d’une certaine manière, toujours avec vous ? Une table de ouija est négligemment posé sur la cheminée… Tentez votre chance…

La Chambre

Cette pièce est la plus grande après le salon. Il y fait froid, un froid dérangeant qui traverse même les épaisses couches de vêtements des visiteurs. Le parquet lustré grince légèrement à chaque pas.
Une petite fenêtre est à demi ouverte, et claque lorsque le vent se fait trop fort. C’est surement de là que provient ce froid mordant… Une petite porte au fond de la pièce conduit à un minuscule balcon. Malheureusement, des épines et du lierre ont escaladé toute cette section des murs et montent jusqu’au balcon. Néanmoins, si on prend bien soin de ne pas mettre ses mains sur la balustrade pour éviter les épines, la vue peut être jolie. On y voit la lune, et les alentours de la Maison Hantée. Juste en dessous du balcon, on peut apercevoir des formes sombres dans le jardin… Des pierres tombales à n’en pas douter. Parfois parmi ces tombes, on s’imagine du mouvement, une ombre qui se déplace… Mais ce serait impossible, n’est-ce pas ?

Dans la chambre, le lit est immense et semble avaler la pièce. Ses draps sont violets, les taies d’oreillers blanches sont encore intactes. Mais les draps sont déformés par un corps facilement reconnaissable en dessous. Son front et son nez forment des petites bosses, ainsi que ses pieds. Si un visiteur plus courageux que les autres ose soulever la couette, il y verra un cadavre qui le fixe en hurlant silencieusement. Le cadavre commence à peine à se décomposer, ses yeux virent au vert-jaune. Son visage émacié est le témoin d’une mort violente, et les marques autour de son cou induisent un étouffement.

Sur une commode à coté, encore bourré des vêtements de son propriétaire, y est posée une petite boite à musique. Si la tourne plusieurs fois, elle produira une douce berceuse, comme pour accompagner le sommeil profond de la victime. Malheureusement, elle s’éraille à la fin de la chansonnette et ne produit plus qu’un son guttural avant de s’éteindre. L’horloge accroché au-dessus de cette commode marche encore, et son « tic-tac » dérangeant et le seul son qui emplit la pièce durant votre visite.

Oserez-vous franchir le seuil de la chambre au risque, peut-être, de voir le mort se relever sous vos yeux ?

La Cuisine

Cette pièce est quant à elle petite. Une odeur de renfermée vous prend le nez dès que la porte s’ouvre. Une toute petite lucarne en haut d’un mur est brisée, et du plastique recouvre sommairement le verre. Celui-ci devait être opaque auparavant pour sauvegarder l’intimité des gens de passage dans cette pièce, mais désormais le plastique ne cache plus rien. Néanmoins, la petite fenêtre n’offre pas assez de lumière pour y voir clair. Les lampes sont donc allumées, éclairant de leur lumière blanche les moindres recoins de la salle de bain. Parfois, à cause de faux contacts probablement, la lumière s’éteint soudainement et quelques personnes ont juré avoir entendu une respiration et du mouvement juste à côté d’eux, dans le noir complet. D’autres fois, la petite lampe, pendue par son fil au plafond, se met soudainement à osciller, parfois violemment.

La salle de bain est composée d’une ébauche de toilette, d’un évier, d’une baignoire et de douche. Il y a également un meuble de petite taille fermé avec un cadenas. Quelques gouttes de sang s’écoulent entre les fines planches en question, ce qui ne donne pas envie de découvrir ce qu’il y a à l’intérieur.

Dans l’évier gît un scalpel, et des éclaboussures de sang le décorent, allant jusqu’à monter sur les murs carrelés. Le miroir est en miettes, et seuls quelques morceaux permettent encore de voir un semblant de réflexion à travers. La baignoire contient un fond de vase et d’eau puante, et des petits sacs poubelles totalement opaques. Ils sont totalement hermétiques mais de l’humidité s’en dégage, et une odeur de pourriture également. La douche serait l’élément le plus propre de la salle de bain si seulement des insectes ne sortaient pas parfois de ses canalisations.

De cette pièce découle un sentiment puissant de malaise. En espérant que lorsque vous ferez votre petite visite, les lumières ne s’éteindront pas…

Farce ou Potion?

Comment jouer?

Premièrement, tout le monde peut y participer! Il n'y a pas d'ordre de passage... Les plus fréquents seront certainement les mieux placés... quoique! On peut commencer à jouer n'importe quand!

Bien sûr, on ne peut pas faire de double passage à la suite!

Le but du jeu est d'être celui qui a le plus de point de vie (PdV) au 30 novembre! Les prix seront annoncés bientôt Dès que l'on commence le jeu, on commence avec 0 PdV et on attend de voir ce que le sort nous réserve!

Voilà comment ça se passe :

Lancez une première fois le dès pour savoir si vous allez être victime d'une citrouille ou bénéficier d'une potion.


Selon ce premier résultat, vous allez relancer le dès une deuxième fois pour savoir ce qui vous attend...

Voici les possibilités :

Potions :


Citrouilles :


Cependant, il se peut aussi que rien ne se passe dans les deux cas...


Il y a alors bien besoin de deux lancés de dès pour jouer! Pour finir son tour et permettre au joueur d'après de jouer, merci de poster à nouveau le poste "Point de vie" avec votre total modifié par les dès que vous avez tiré.
Bon jeu à tout le monde et joyeux Halloween

La Chasse Aux Sorcières

Comment jouer?
Tout simplement en fouillant le forum de fond en comble! Il n'y a pas de piège, les sorcières seront dans les parties visibles pour tout le monde

Un sorcière peut se cacher dans le premier poste de chaque sujet! En haut... ou en bas

Voilà leur apparence :



Dès que vous en avez trouvé une, veuillez utiliser le code suivant :

Code:

[b]url de la page où se trouve la sorcière[/b] :ici

Plusieurs vagues de sorcières sont prévues car les premières déjà sur place ont prévenu leurs collègues qui arrivent sur leur balai volant!

Attention, 8 sorcières seront cachées d'ici demain 20 heures ( le 29 octobre)

Chaque sorcière trouvée vous rapportera des gouttes de sang et celui qui en trouve le plus aura un supplément à la fin

Bonne chasse à toutes et à tous!